Préparer et mener à bien ses projets d’avenir, compléter ses revenus à la retraite ou bien encore transmettre un capital à ses proches grâce à l’assurance vie.
Se constituer une épargne diversifiée…
La souscription d’un contrat d’assurance vie nécessite simplement le versement d’un montant minimum. Par la suite, le souscripteur est libre d’effectuer des versements complémentaires quand il le souhaite, à son rythme, et pour le montant adapté à son budget.
L’assurance vie constitue en outre un outil de valorisation et de diversification de l’épargne. Majoritairement investie au travers de contrats multi-supports, cette épargne peut être répartie entre différents supports : un support en euro qui vous assure la sécurité du capital investi, et/ou des supports en unités de compte, qui permettent d’investir sur les marchés financiers et/ou immobiliers sans offrir de sécurité en capital, les montants investis sur ce type de support pouvant varier à la hausse ou à la baisse en fonction de l'évolution de ces marchés. Ce type d’investissement présente donc un risque de perte en capital pouvant être partielle ou totale, mais qui constitue un potentiel de rendement plus élevé.
… disponible à tout moment…
L’épargne investie en assurance vie reste disponible : si un besoin est identifié, le souscripteur peut demander à effectuer un rachat partiel ou total.
… et dans un cadre fiscal spécifique, y compris en matière de transmission…
En cas de rachat partiel ou total, le montant racheté comprend une partie en capital et une part d’éventuelles plus-values : une fiscalité particulière s’applique sur le montant des plus-values, le capital n’étant pas soumis à fiscalité.
Avant 8 ans, les gains réalisés dans le cadre d'une assurance vie sont soumis au prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 30% ou, sur option à l'impôt sur le revenu. Après 8 ans, ils bénéficient d'un régime fiscal plus avantageux avec un taux de 7,5% pour les produits des primes inférieures à 150 000 euros, puis un taux de 12,8% pour le produit des primes au-delà de 150 000 euros) ou, sur option, au barème progressif de l’impôt sur le revenu. De plus, un abattement annuel de 4 600 euros pour une personne seule et de 9 200 euros pour un couple s’applique (fiscalité applicable pour les versements effectués à compter du 27/09/2017).
En cas de décès, l’assurance vie se révèle également être un outil de transmission. En effet, le contrat est hors succession et le capital est versé aux bénéficiaires désignés par le souscripteur. Les montants transmis aux bénéficiaires désignés obéissent à des règles fiscales particulières définies en fonction notamment de la date de souscription du contrat, de l’âge du souscripteur au moment du versement des primes et de la date de versement de ces primes.
… en intégrant les frais et les risques liés à l’assurance vie
L’assurance vie est soumise à divers frais parmi lesquels des frais sur versement ou droits d’entrée qui sont prélevés directement sur le montant des sommes versées sur le contrat. A ces frais s’ajoutent des frais de gestion annuels, prélevés sur l’épargne constituée, et des frais d’arbitrage en cas de modification de l’allocation du contrat.
En outre, les montants investis sur les supports en unités de compte ne sont pas garantis et peuvent varier à la hausse ou à la baisse en fonction de l'évolution des marchés financiers et/ou immobiliers. Ce type d’investissement présente donc un risque de perte en capital pouvant être partielle ou totale.
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